Après avoir lu «Balzac et son monde» de Félicien Marceau, Jean Hamburger dit à son auteur tout le bien qu’il pense de son essai. «Votre Balzac et son monde m’éblouit. Je n’avais pas, je l’avoue, lu l’édition première [parue en 1970] et je ne connaissais pas ce véritable monument. J’imagine la somme de travail que l’ouvrage a réclamée. Vous savez combien j’admirais l’auteur dramatique. J’ai découvert avec émerveillement le talent du critique littéraire. Au hasard des pages, bien des aspects de l’oeuvre de Balzac m’ont fasciné – grâce au recul que vous prenez pour les analyser et les comprendre. Vos confrontations de Balzac avec Zola, avec Molière, avec Gide et Nietzsche sont très remarquables. Le thème de «La volonté de puissance» et des constructeurs m’a d’autant plus intéressé que je viens de relire «Le médecin de campagne» : l’éclairage que vous donnez à la personnalité de Benassis m’a paru d’une grande justesse […]».